20-05-2024 11:24 PM Jerusalem Timing

Gardiens de la Révolution: Carter confirme la puissance de notre puissance

Gardiens de la Révolution: Carter confirme la puissance de notre puissance

" malgré la présence de 60 navires de guerre américains et français dans le secteur à ce moment-là. Aucun d’entre eux n’a osé songer à utiliser ses armes et ce parce qu’ils appréhendent une confrontation directe avec les forces ira

Le commandant des forces marines des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le vice-amiral Ali Fadavi, a estimé que " les propos du Secrétaire américain à la Défense Ashton Carter selon lesquels les USA et ses alliés comptent s'engager dans une  confrontation avec l'Iran, est un aveu de la puissance de la révolution islamique dans la région, puissance réaliséee  grâce à la direction de l'imam Khomeini (P) et grâce au sang des martyrs" a rapporté le site d'informations iranien Farsnews.

Et d'ajouter : "  les mesures hostiles des États-Unis contre la Révolution islamique au cours des dernières décennies ont toutes été vouées à l'échec".

S’exprimant lors d’une cérémonie culturelle dans la ville d’Ardestan, au centre de l'Iran, le commandant Fadavi a fait mention de l’animosité de Washington à l’encontre de la République islamique d'Iran et a décrit la nature de cette hostilité comme étant celle qui oppose le  mensonge à  la vérité".

Et de poursuivre :" Depuis la victoire de la Révolution islamique, l’animosité des Américains contre la Révolution a toujours existé et s'est renforcée chaque année, mais ils ne sont jamais parvenus à leurs fins parce que la République islamique est toujours restée sur le chemin de la vérité et de l’islam."

Il a souligné  que "lors de chaque confrontation entre l’Iran et les États-Unis, c’est la Révolution islamique qui en est sortie victorieuse".

Fadavi a ensuite abordé la question de la détention des marins de la marine américaine, capturés dans les eaux iraniennes dans le golfe Persique au mois de janvier:" malgré la présence de 60 navires de guerre américains et français dans le secteur à ce moment-là. Aucun  d’entre eux n’a osé songer à utiliser ses armes et ce parce qu'ils appréhendent  une confrontation directe avec les forces iraniennes".