L’Algérie, n’entretient pas des relations avec "Israël".
Parmi les 145 sous-traitants pharmaceutiques en Algérie, deux laboratoires israéliens se sont proposés à fournir leurs médicaments à la Pharmacie centrale des hôpitaux.
Le premier est revenu après le départ de l'ancien ministre Djamel Ould Abbès, qui avait décidé de le radier et d'interdire toute sous-traitance avec lui.
Après les enquêtes effectuées, il s'est avéré que les médicaments importés sont de provenance du laboratoire sis à Haïfa.
Quant au second, c'est le laboratoire ''Limri" qui existe depuis des années dans le marché algérien, une filiale de l'entreprise israélienne "Teva", qui a confirmé sur son site Internet que «le laboratoire mexicain Limri » la représente au Mexique.
Selon les informations fiables en possession du quotidien Echorouk, ont révélé les détails de l'ouverture des plis concernant le marché de médicaments destinés à la Pharmacie centrale des hôpitaux, effectuée le mois de janvier dernier.
A cet effet, un certain nombre de concessionnaires ont montré leurs mécontentements et ont exprimé leur consternation du retour en force du laboratoire "San Pharma" Celui-ci avait gagné le contrôle global de l'entreprise israélienne pour les médicaments sexuels « Taro », le 12 août 2012, pour une valeur de 580 millions de dollars.
Les médicaments indiens se sont avérés qu'ils sont des produits made in « Israël », ce qui est incompatible avec la politique générale de l’Algérie, qui refuse totalement toute relation avec « Israël ».