Ces mises en garde ont été accompagnées de renseignements et de détails extrêmement importants qui sont désormais aux mains des services de sécurité compétents.

Les Etats-Unis et des services de sécurité arabes et occidentaux ont fait parvenir des mises en garde sur le danger d’assassinat qui plane autour du président de la Chambre, Nabih Berry, et le commandant en chef de l’Armée, le général Jean Kahwaji.

Ces mises en garde étaient accompagnées de renseignements et de détails extrêmement importants qui sont désormais aux mains des services de sécurité compétents.

Ces avertissements confirment des informations à caractère sécuritaire qui avaient été transmises à MM. Berry et Kahwaji et à une personnalité importante, il y a quelques mois, à la lumière de la dégradation de la situation politico-sécuritaire.

Après ces informations, des mesures de sécurité exceptionnelles ont été prises pour éviter que les personnalités menacées ne soient prises pour cible par un attentat, qui pourrait provoquer un embrasement général du Liban.

Le danger réside dans le fait que certaines forces politiques tendent à prendre à la légère ces mises en gardes et a en atténuer la gravité, bien que les plus sérieuses proviennent de sources américaines.

Ces milieux ont inscrit ces mises en gardes dans le cadre des pressions et du bazar politique, voire dans le contexte de la prorogation du mandat de Jean Kahwaji ou du report des élections législatives.

Sachant que des personnalités du 14-Mars ont à leur tour évoqué des menaces d’attentats dont elles pourraient être victime.

Quoi qu’il en soit, l’exacerbation des tensions au Liban et le retour de la menace des attentats risquent d’avoir de graves répercussions sur la scène libanaise, surtout que le désordre sécuritaire règne du Nord au Sud.

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