L’un des cadres du Conseil de l’opposition syrienne vient de le confirmer : « les opposants ne sont pas en mesure de vendre de pétrole, avant un ou deux mois, car le pouvoir exécutif leur manque".
L'un des cadres du Conseil de l’opposition syrienne vient de le confirmer : « les opposants ne sont pas en mesure de vendre de pétrole, avant un ou deux mois, car le pouvoir exécutif leur manque".
C'est le journal "As-Safir", qui rapporte cette information. Ossameh al-Ghazi, qui dirige le groupe économique au sein de la coalition "désignée" par l'Occident, fait remarquer qu'il faut un "gouvernement de transition", pour que la levée de l'embargo décidée par l'Europe puisse bénéficier à l'opposition.
Ghazi a, aussi, accusé de "trafic" et de "pillage des richesses nationales" "ceux qui vendent le pétrole syrien pour leur propre compte".
Bruxelles a décidé d'une levée de l'embargo sur la vente du pétrole, dans des régions sous contrôle des terroristes non pas seulement pour aider ces derniers à désintégrer la Syrie mais aussi pour s’acheter du pétrole bon marché.