Sans préciser la partie qui doit interdire ce genre d’activités.
Le président Michel Sleiman a jugé nécessaire de « ne pas autoriser l’envoi d’armes et de combattants en Syrie ou l’installation de bases d’entraînement militaire sur le sol libanais », mais sans préciser la partie qui doit interdire ce genre d’activités.
« Il ne s’agit pas seulement d’une application de la déclaration de Baabda et de la politique de distanciation et d’un engagement en faveur des deux, mais d’une nécessité pour protéger l’unité nationale et éviter que la coexistence ne soit exposée à des secousses », a-t-il dit devant ses visiteurs.
M. Sleiman s’est entretenu Mercredi avec le vice-Premier ministre sortant, Samir Mokbel, qui lui a exposé les projets réalisés par les commissions ministérielles qu’il préside.
Le chef de l’État a également reçu le ministre démissionnaire de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Hassan Diab, avec qui il a notamment discuté des préparatifs des examens officiels.
Le président Sleiman a en outre examiné la situation financière du pays avec le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, qui l’a rassuré au sujet de la stabilité de la situation monétaire.