Michel Kilo a condamné l’incapacité de la coalition de prendre une décision.

Quatre groupes de l’opposition syrienne, ainsi que l’opposant Michel Kilo ont condamné l’état de « paralysie » dont souffre la « coalition syrienne » de l’opposition.

Ils ont considéré que « la direction de la coalition a échoué dans les épreuves des échéances politiques, structurales et humanitaires ».

Dans un communiqué, les parties citées ont estimé que « compte tenu de la réalité des faits, cette direction a échoué d’assumer la responsabilité de représenter la révolution, et dorénavant, les forces de la révolution syrienne signataires de ce communiqué n’accorderont aucune légitimité révolutionnaire à un corps politique qui pourrait se transformer en un cancer dans le corps de la
révolution en cas de son élargissement d’une façon erronée".

Les parties qui ont signé ce communiqué sont : le comité général de la révolution syrienne, l’union des comités de coordination de la révolution syrienne, les comités de coordination locale, le conseil suprême du commandement de la révolution syrienne.

Pour sa part, Michel Kilo a condamné « l’incapacité de la coalition de prendre une décision », estimant que « la véritable crise se trouve à l’intérieur de la coalition ». Il a démenti toute ingérence saoudienne au profit de la coalition, selon lui.