Le ministère iranien de la sureté a démantelé un réseau d’agents qui cherchaient à perpétrer des actes de sabotage le jour des élections présidentielles iraniennes prévu ce 14 Juin.
Des sources iraniennes ont souligné que le Qatar est l'un des deux pays arabes accusés d’être derrière le réseau d’espionnage démantelé par la République islamique.
Dans ce contexte, des informations évoquent que l'élément le
plus dangereux du réseau est un homme d'affaires qui fréquentait un pays arabe
impliqué dans le réseau en question.
Ces informations ont révélé qu’une partie du complot visait à provoquer des
conflits sectaires à travers l'assassinat de personnalités politiques et
religieuses en Iran, simultanément avec les préparatifs pour les élections
présidentielles afin de créer des dissensions, et de provoquer des mouvements de protestations.
Le ministère iranien de la sureté avait démantelé un réseau d'agents qui cherchaient à perpétrer des actes de sabotage le jour des élections présidentielles iraniennes prévu ce 14 Juin.
Le ministère a indiqué dans un communiqué que "le chef du réseau a été
recruté il y a quelques années par les services de renseignement de l’un des
pays les plus réactionnaires dans la région, un pays qui n’est pas la hauteur d’une confrontation avec l'Iran indépendant et fort».
Et d’ajouter avoir obtenu "des documents forts sur les différentes dimensions de
ce dossier et le rôle de ce pays réactionnaire allié du sionisme et de
l'arrogance occidentale ».
Et le ministère de conclure que «le chef du réseau, et après avoir été recruté par
les services de renseignement dudit État, a été subordonné à un officier du Mossad israélien, et après avoir reçu des formations sécuritaires et militaires, a été envoyé aux territoires palestiniens occupés, où il a été chargé par le Mossad d’une mission d’espionnage directe, avec la médiation des services de renseignements de cet Etat arabe, avant d’être envoyé en Iran ».