Un grand nombre de familles des Tunisiens qui combattent en Syrie croient que leurs fils ont été trompés.

Des représentants des composantes de la société civile en Syrie et en Tunisie, ont affirmé leur rejet de toute forme de terrorisme, évoquant l'importance du rôle des organisations sociales dans la poursuite de la situation des Tunisiens qui combattent en Syrie et la facilitation de leur retour à leur patrie.

Dans une conférence de presse tenue samedi à Damas, Zuheir Latif, chef de la délégation civile tunisienne, a estimé qu’un grands nombre de familles des Tunisiens arrêtés en Syrie et qui combattent sur ses territoires croient que leurs fils ont été trompés, tout en mettant en exergue la coopération des autorités syriennes et des composantes de la société civile en Syrie avec la délégation des familles des Tunisiens arrêtés pour faciliter les mesures de leur retour à leur pays.

Il a fait savoir que les deux sociétés avaient appelé à la libération des personnes qui ont été trompées et dont les mains n'ont pas été entachées de sang des Syriens.

Pour sa part, l'activiste dans le domaine de la société civile, côté syrien, Khaled Mahjoub, a indiqué que les deux parties avaient convenu d'intenter des procès contre tous ceux qui avaient incité les jeunes à l'extrémisme et à la violence.

SANA