Décidément, Bibi le Forcené n’est jamais satisfait.
Décidément, Bibi le Forcené n’est jamais satisfait. Après le départ d’Ahmadinejad, le fou de Tel Aviv persiste dans ses délires chroniques et la pathologie ne fait qu’empirer.
Récemment, dans une interview accordée au Washington Post, il a déclaré que les résultats des élections présidentielles en Iran ne conduiront pas à des changements dans sa politique dans le domaine nucléaire.
« L'Iran cherche à n’obtenir ni une, ni deux, mais 200 bombes. Ils sont en train de créer des missiles balistiques intercontinentaux, et en parallèle développent leur programme d'armes nucléaires. Les missiles intercontinentaux ne sont pas destinés pour nous, mais pour vous (les Etats-Unis),..», a-t-il déclaré.
Cela dit, l’homme semble submergé par une angoisse évolutive qui s’est transformée en terreur pour aboutir à cette panique permanente que l’on décèle à travers ses sorties médiatiques.
Il voit, entend et sent des dangers, des ennemis qui le cernent: il est traqué, il ne peut échapper à un monde qu'il ne comprend plus. Yeux grands ouverts, l’homme présente le regard d’un « animal traqué ». Il hallucine déjà en voyant deux cents ogives nucléaires iraniennes tomber sur Tel Aviv.
Avec son arrogance habituelle, son ergoterie revendicatrice, son comportement puéril, sa vulgarité exceptionnelle, la grande versatilité de ses attitudes, il cherche à embraser le monde oubliant que dans un tel cas qu’il serait le premier à se faire exploser.
Avec ses humeurs variant d’une semaine à l'autre, ou d'un jour à l'autre, ou même d'une heure à l'autre, il serait capable de rire dans les situations tragiques (cadavres déchiquetés des enfants palestiniens) ou pleurer quand on plaisante.
De même qu’il ne serait pas étonnant qu’il se suicide un jour à force d’être déprimé et abattu.
D’un autre côté, on remarquera que ses pensées ne parviennent pas à s'enchaîner logiquement et que son raisonnement tend vers la confusion et l’incompréhensibilité, ce qui expliquerait, d’ailleurs, ses déraillements permanents.
Outre cela, notons également ses idées fixes, ses convictions fausses, tout à fait aberrantes ou absurdes, auxquelles il s'accroche avec un entêtement inébranlable, même face à l'évidence, résistant à toute argumentation rationnelle (type de raisonnement parfois qualifié d' «autiste»).
Dans cette symptomatologie, on relèvera notamment qu’il semble persuadé qu'on le persécute, qu'on l'épie, qu'il est suivi, qu'on l'espionne, qu'il est la victime ou l'objet d'un complot (paranoïa).
Il ne serait pas donc étonnant qu’il puisse voir des monstres grimaçants et menaçants; ou percevoir des insectes qui lui courent derrière.
Reste enfin à savoir si dans une telle situation, il ne négligerait pas son hygiène corporelle.
Cela dit, les psychiatres israéliens doivent se pencher sérieusement sur son cas, car il risque de faire exploser les deux cents ogives nucléaires israéliennes en les prenant pour des ogives iraniennes.
Chérif Abdedaïm
Source: Nouvelle République