Mère-Agnès a assuré que les hommes armés ont commis des massacres horribles dans certains villages contre des communautés déterminées.
Mère Agnès-Marie de la Croix, présidente du monastère de Saint-Jacob en Syrie, a assuré détenir des preuves sur les fabrications d'images dans l'incident de l'emploi des armes chimiques dans la province de Damas.
Dans une interview avec "Russia today", Mère Agnès a révélé qu'il y a eu une sélection d'images d'enfants séparés de leurs parents, se disant surprise des "rapports des agences de presse prétendant le recours du régime syrien aux armes chimiques".
Et de poursuivre: "Nous avons vu ce qui s'est passé en Irak et en Syrie. Aucun nouvel alibi ne pourra nous convaincre d'une frappe contre la Syrie", ajoutant que ce qui a eu lieu dans la Ghouta est un crime contre l'humanité qui viole toutes les conventions internationales.
Elle a par ailleurs appelé la communauté internationale à adopter une position unie pour faire face aux exactions de "nouveaux barbares" dans des régions syriennes.
Mère-Agnès a assuré que les hommes armés ont commis des massacres horribles dans certains villages contre des communautés déterminées.
" Nous avons assisté à des actes de torture horribles commis par les groupes armés contre des civils. Les chrétiens, les druzes, les alaouites et les Ismaéliens ont subi de multiples massacres de la part des terroristes", a-t-elle dit, soulignant que ce qui se passe en Syrie est une propagation de la culture barbare au 21ème siècle. L'enlèvement, le meurtre, le viol et l'égorgement sont des actes quotidiens commis dans les régions soumises au contrôle.