Et d’ajouter: "L’argent ne fait pas de révolution".
Le chef du parti socialiste
progressiste libanais Walid Joumblatt a déclaré que les déclarations sur la
chute du président syrien Bachar elAssad dans les trois premiers mois du
conflit étaient exagérées.
« Les mois se sont succédé et Assad est resté à
sa place. Même s’il se porte candidat aujourd’hui à la présidentielle, il sera
le vainqueur ».
Dans un entretien au quotidien
assafir, Joumblatt a dit : « Certains ont cru dès le début du soulèvement
en Syrie que l’argent peut faire une révolution », soulignant que « la
crise syrienne nous rappelle de la crise nationale au Liban, et du temps que
cette crise a pris avant d’arriver à l’accord de Taëf ».
Selon lui, le congrès de Genève-2
serait une occasion pour dessiner la carte de la fin de la crise syrienne.