"Les riches du Golfe envoient toujours de l’argent aux combattants extrémistes en Syrie", indique The Economist.

Le journal The economist a révélé
que l’opposition syrienne armée souffre de nombreux problèmes dus aux conflits
internes qui opposent les différents groupes et leur incapacité de prendre une
décision unanime.

Compte tenu de cette réalité, les rêves de l’Arabie Saoudite
de construire une armée au sud de la Syrie ont volé en éclats, a constaté le même
journal.

Et d’ajouter : « Toutefois, les riches du Golfe envoient
toujours de l’argent aux combattants extrémistes en Syrie, notamment de Koweit ».

Par ailleurs, The Economist a
assuré que la mort du commandant de la brigade Attawhidm Abdel Qader Saleh, a
asséné un coup dur à l’opposition extrémiste. « L’EIIL a commencé à
dresser des points de contrôle dans des régions stratégiques tout au long de la
frontière turco-syrienne », a poursuivi le journal, précisant que
quiconque veut entrer en Syrie doit passer par ces barrages.

Quant à l’opposition « modérée »,
selon The Economist, elle diverge sur le ralliement ou la lutte contre les groupes
extrémistes.

Alors que la brigade Attawhid a choisi d’éviter la lutte contre l’Etat
islamique en Irak et au Levant (EIIL), affilié à al-Qaida, d’autres brigades
ont choisi de le combattre.