Dans lesquelles il soupçonne l’ex-chef des Forces de sécurité intérieure libanais, Wissam al-Hassan d’être impliqué dans l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri.
L’ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, a estimé que les déclarations de Bo Aström, l'ex-vice-président du département d'enquête au sein de la commission internationale présidée par Detlev Mehlis, au sujet de la complicité de Wissam al-Hassan avec les meurtriers de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, «marquent le début de l’effondrement des piliers du complot des faux témoins, qui ont oeuvré en 2005 pour accuser injustement les quatre généraux incarcérés pour des motifs politiques.»
L’enquêteur suédois avait déclaré, lors d’une émission diffusée par la NTV, que l’ancien directeur des Forces de sécurité intérieure (FSI), Achraf Rifi, avait dissimulé des enregistrements de caméras-vidéo dans la région du Saint-Georges sans ouvrir d'enquête.
Selon M. Sayyed, «les réactions de Rifi, de Saad Hariri, du journaliste Farès Khachan et de l’ancien chef de la commission internationale, Detlev Mehlis, prouvent que toutes ces personnes, y compris M. Aström, jouaient un rôle de premier plan dans ce complot».
Al Akhbar-Médiarama