22-11-2024 10:54 AM Jerusalem Timing

1001 mystères de la MH370: actionnaires et cerveaux chinois,Rothschild et Israël

1001 mystères de la MH370: actionnaires et cerveaux chinois,Rothschild et Israël

Un mélange sur fond d’énormes enjeux financiers, militaires, scientifiques...

La catastrophe du vol MH370 de  l’avion de ligne de la Malaysia Airlines ne saurait passer naïvement et ne peut en aucun cas relever de l’évènement accidentel.

L’affaire est d’autant plus louche que des experts relayés par des agences internationales propagent que son mystère ne sera jamais dissipé.

Or il s’avère que de nombreuses zones d’ombre ont été occultées. Avant même de vérifier catégoriquement leur véracité, elles ont tout de fois pour mérite d’expliquer les raisons pour lesquelles le mythe du mystère est d’ores et déjà privilégiée, 15 jours après sa disparition.

Alors que les débris de l’appareil et les corps de ses 239 passagers et membres d’équipage devraient être abîmés au fond de l’Océan indien, de plus en plus de révélations d’une grande importance commencent faire surface.

Les quatre actionnaires chinois

Il y a d’abord comme zone d’ombre, celle des quatre actionnaires chinois sur les 150 passagers compatriotes  qui étaient à son bord. Et non pas n’importe lesquels.

Selon l’agence hispanophone Eternity, ils étaient à aux seuls titulaires de 80% des actions d’une énorme société américaine de semi-conducteurs, Freescale et dont le siège principal  se trouve à Austin dans le Texas américain. Chacun de Peidong Wang,  Zhijun Chen, Zhijong Cheng et  Li Ying possédaient 20% des parts de cette société.

L’enjeu est énorme lorsqu’on sait que dans des cas similaires, c’est-à-dire qu’au cas où un titulaire d’action se meurt, ce sont les autres propriétaires qui ont la priorité pour se partager à parts égales ses actions, à condition qu'il n’y ait aucune contestation dans son testament.

Il l'est encore plus lorsqu’on sait que le cinquième et dernier titulaire de cette société  n’est autre que Jacob Rothschild, le multimilliardaire britannique.

Toujours vivant parce qu’il n’est jamais monté à bord de l’appareil malaysien, c’est à lui en principe que reviendrait donc les 80% des actions des titulaires chinois décédés dans l’incident.

D’origine juive allemande, il fait partie de la dynastie des Rothschild qui est depuis le XIXe siècle l’une des familles de banquiers et de financiers les plus influentes de l'Europe, voire du monde.

C’est aussi cette famille qui a participé activement  à l’usurpation de de la Palestine. Sa contribution ayant permis entre autre de s’acheter en catimini des propriétés et des terres palestiniennes pour construire des colonies et y implanter les premiers juifs du projet sioniste.
 

Et 20 cerveaux chinois et malaisiens

L’affaire de ce malheureux vol ne s’arrête pas sur cette zone d’ombre.  Une autre information aussi gravissime a été aussi publiée sur la Toile, et par le très sérieux site d’information français Agora Vox.

À bord de l’avion en ligne se trouvait une délégation de 20 des employés de cette même société américaine, 8 chinois et 12 malaisiens.
 

S’étonnant que les medias mainstream (terme désignant les supports internationaux, agences et réseaux compris et qui gravitent dans leur ligne éditoriale autour du système mondial actuel) omettent de révéler tout ce qui a trait à ce Boeing 777, le site assure que cette information a pourtant été déclarée par le PDG du groupe Greg Loewe.

Ils voulaient se rendre en Chine pour une réunion d’affaire. Ingénieurs de haut niveau, ils sont liés à des contractants US de la Défense dans le domaine de l’armement électronique high tech, révèle à son tour un autre site d’informations, les Chroniques de Rorscharch.

Ça sent le militaire

Dans une recherche plus approfondie on découvre une face cachée de la Freescale laquelle est loin d'être une société banale. Appelée dans le passé Motorolla, elle compte en plus de ses activités civiles ostensiblement affichées sur son site, des activistes électroniques militaires, vaillamment occultées semble-t-il !

Dans le site, on se contente de la présenter comme étant « le leader mondial dans la conception et la fabrication de semi-conducteurs embarqués pour les marchés de l'automobile, de l'électronique grand public, de l'industrie des réseaux et communications sans-fils ».

Selon Agora vox, elle dispose d'une équipe de spécialistes dédiée à l'appui aux forces de défense.
Et ses produits commerciaux couvrent divers secteurs, dont les communications sur le champ de bataille, l'avionique, les bandes radar HF par L et S, le guidage des missiles, la guerre électronique, et l'identification, ami ou ennemi (IFF)

Faire disparaitre les avions

Grâce donc à ses produits de l’armement électronique, un avion peut sembler disparaître, explique le site « Les chroniques Rorscharch » (site anti sioniste et anti system mondial) : autre face cachée de cette affaire, en lien avec cette société.

« De nouvelles armes électroniques permettent le brouillage, l’aveuglement, l'assourdissement et plus encore, de sorte qu'un avion pourrait disparaître des radars de détection tandis que les systèmes de sécurité ne seraient pas activés. Au niveau du radar les stratégies de contre-mesures électroniques basiques utilisées dans la guerre électronique sont les interférences radar, la modification des cibles et la modification des propriétés électriques de l'air.

L'année dernière, il a été annoncé que la nouvelle technologie de la furtivité des avions les rend invisible non seulement au radar mais également à l'œil humain à la manière d'une cape d'invisibilité.

Et Israël dans tout cela

Qui dit Rothschild dit Israël! L’entité sioniste ne saurait ne pas être concernée par cette société. Elle semble maitriser cette nouvelle technologie militaire et l’a déjà appliquée.

Sachant qu’elle a développé une arme capable d'imiter un signal de maintenance qui commande au réseau des portables de " se mettre en veille " stoppant ainsi efficacement les transmissions.

((En 2007, l'armée syrienne a obtenu un avant-goût de cette guerre quand les radars de défense aérienne du pays ont étés leurrés par les forces Israéliennes. Dans un premier temps, elles ont fait en sorte qu'ils ne montrent aucun avion dans le ciel puis l'instant d'après, elles ont fait en sorte que les radars montrent des centaines d'avions)), rapporte le site Agora vox.

Il y est également question d’un rapport d'évaluation du renseignement américain lequel a conclu qu'une attaque israélienne contre l'Iran irait bien au-delà des frappes aériennes avec des avions de combat et verrait probablement le déploiement d'armes électroniques contre le réseau électrique, l'Internet, les réseaux de téléphonie mobile ainsi que les fréquences d'urgence utilisées par les premiers secours en Iran.
 
 Questions sans réponses

Toutes ces révélations sont d’autant plus déroutantes que les experts évoquent de plus en plus l’éventualité que le mystère du vol MH370 ne soit jamais dissipé.

Les questions couramment soulevées par l'AFP pourraient ne jamais avoir de réponses.

Pourquoi le Boeing a-t-il subitement changé de cap, une heure après le décollage de Kuala Lumpur, pour repartir vers l'ouest, à l'opposé de sa destination prévue (Pékin)?

Pour quelles raisons les systèmes de communication ont-ils été désactivés?
Comment se fait-il que l'avion ait ensuite volé pendant plus de sept heures, jusqu'à épuisement de son carburant?

Et pourquoi aller se perdre aux confins du sud de l'océan Indien, loin de toute terre?

Absence de preuves physiques

La cause en est selon les experts interrogés par l’AFP la disparition de preuves physiques

Selon l’AFP, non seulement l’avion s’est abîmée très loin de sa trajectoire prévue à quelque 2.500 km au sud-ouest de Perth, sur la côte occidentale australienne, mais il semble aussi que le fait de « localiser les boites noires dans l'immense zone de recherche, relève presque de la mission impossible »

Et s’il est récupéré, «  les experts estiment que ces enregistreurs pourraient ne pas fournir les clés du mystère » ajoute l’agence.
Le sort est similaire pour l'enregistreur de vol phonique qui risque lui aussi de ne pas révéler les données qui lui incombent, toujours d’après les experts de l’AFP.
« Deuxième boite noire à bord d'un avion commercial, qui révèlerait les paroles échangées dans le cockpit, et donc les décisions, il ne garde que les deux dernières heures des conversations en vol.
  

Les mots échangés lors du brusque changement de cap, à mi-chemin entre les côtes malaisiennes et vietnamiennes, sont donc perdus. L'enregistreur "ne dira rien de ce qui s'est passé au-dessus du golfe de Thaïlande. ça aura été effacé", estime le cabinet d'analyses Leeham Co. dans une note, rapporte l’agence.

 Il ne resterait plus selon ce dernier que le DFDR (Digital flight data recorder), qui enregistre tous les paramètres de vol (vitesse, altitude...), et qui en principe "devrait fournir quantité d'informations".
 
Trois scénarios et aucune piste

L’AFP ajoute que trois scénarios ont été évoqués: le détournement, un sabotage de la part d'un ou des deux pilotes, une crise soudaine qui rend incapables d'agir les pilotes et l'équipage et laisse l'appareil en pilotage automatique jusqu'à la fin.
 Mais rien pour le moment n'étaye aucune de ces hypothèses.
   Pour Chris Yates, expert dans l'industrie aéronautique, "il semble peu probable qu'on obtienne un jour une explication" à l'équipée folle du Boeing.
 "Nous n'avons toujours aucune idée de l'état mental du pilote et du co-pilote, nous ne savons pas si quelqu'un a pu s'introduire dans le cockpit pour s'emparer des commandes, et nous n'avons reçu aucune revendication", a-t-il noté sur la BBC.
  

"C'est un mystère comme nul autre".

"En tant qu'enquêteurs, nous avons besoin de preuves physiques. Et pour le moment nous n'avons aucune preuve physique sur laquelle travailler", souligne Anthony Brickhouse, membre de la société internationale des enquêteurs sur la sécurité aérienne.
 La balise des boites noires va continuer d'émettre une quinzaine de jours environ. Si les boites noires ne sont pas retrouvées, "il est probable que nous ne saurons jamais ce qui s'est passé", estime Paul Yap, professeur à l'université polytechnique Temasek de Singapour.