Certains parties occidentales estiment que "c’est une perte de temps que d’essayer de forcer l’Iran à renoncer à l’énergie nucléaire.."
Le Président de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Conseil islamique, Alaeddin Boroujerdi a villipendé les puissances occidentales en affirmant que "les sanctions frappant certaines autorités iraniennes s’inscrivent dans le cadre des efforts désespérés de l’Occident pour faire pressions sur l’Iran", a rapportén Farsnews.
"De telles pressions ne peuvent pas faire plier l’échine à la république islamqiue d'Iran face au maximalisme de l’Occident", a souligné Boroujerdi devant un parterre de journalistes.
Récemment, sous prétexte de violation des droits de l’homme, le ministère britannique des Finances a prorogé dans un rapport, les sanctions contre 15 anciennes et actuelles autorités iraniennes.
Même son de cloche chez le président de l’Assemblée islamique d’Iran, Ali Larijani qui a exhorté les pays occidentaux à opter pour une approche réaliste vis-à-vis de l’affaire nucléaire iranienne" .
Ali Larijani a indiqué devant les familles des diplomates de l’ambassade de l’Iran à Minsk, que des pas sont franchis sur le chemin juste dans le sens des négociations nucléaires.
« Les différentes parties de négociations sont parvenues à cette conclusion que c'est une perte de temps que d’essayer de forcer l’Iran à renoncer à l’énergie nucléaire et donc elles sont obligées d'adopter une approche réaliste envers ce dossier".
Le président du parlement iranien a jugé positifs ses entretiens avec les responsables biélorusses dont le président, le Premier ministre et le président du Sénat.