Le projet de la création d’une zone dénucléarisée, au Moyen-Orient, a été présenté, en 1974, par l’Iran.

Le représentant iranien, auprès de l’AIEA, Reza Najafi, a prononcé un discours, à la tribune de la troisième réunion de la Commission préliminaire de la Conférence sur la révision du TNP, en cours, à New York.

Il a souligné la nécessité à ce que  l'entité sioniste adhère au  traité de non prolifération nucléaire (TNP) a rapporté l'agence d'information iranienne Farsnews.

L’envoyé de l'Iran à l'Agence internationale de l'énergie atomique, a appelé à  l’organisation d’une conférence internationale afin de revoir  le traité limitant la prolifération des armes nucléaires et définir  un calendrier
Najafi a exhorté l »a communauté internationale à déployer des efforts pour avoir un Moyen-Orient dépourvu d’armes nucléaires ».


Et de poursuivre : «Le projet de la création d’une zone dénucléarisée, au Moyen-Orient, a été présenté, en 1974, par l’Iran. La première réunion spéciale de l’Assemblée générale sur le désarmement a prêté une attention toute particulière à la réalisation de ce plan et a réclamé des mesures immédiates, à ce propos».

 Selon Reza Najafi, l’adoption, à l’unanimité, d’une résolution concernée, par les membres de l’ONU, fait preuve du soutien efficace et continu du monde à la création d’une zone dénucléarisée, au Moyen-Orient.
Le représentant iranien a souligné que les activités nucléaires non-conventionnelles du régime sioniste étaient à l’origine de l’échec des efforts internationaux, pour mettre en application ce projet.
La 3e commission préparatoire de la conférence des pays membres du TNP pour la révision du texte se tiendra, entre les 28 avril et 9 mai, à New York, en présence de près de 190 pays membres.