L’Union européenne , et sous l’impulsion des Etats-Unis a élargi sa liste de sanctions contre la Russie..

 Les autorités américaines ont reconnu le fait que les conclusions concernant les bombardements du territoire de l'Ukraine de la part de la Russie avaient été faites à partir d'informations provenant des réseaux sociaux. C’est ce qu’a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Josh Earnest.

En outre, les accusations que les militaires russes auraient formé la milice populaire à utiliser des systèmes de missiles anti-aériens Bouk se fondaient également sur les rumeurs propagées à Internet.

Précédemment, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré qu’il avait démenti les « insinuations infondées publiques » générées par Washington.


Parmi ses accusations, on a prétendu que la Russie fournit des chars et des systèmes lance-roquettes multiples Grad aux miliciens dans le Sud-est de l’Ukraine.


Le département d'Etat amèricain avait noté qu’une « vidéo Internet » montrait la présence de chars russes sur le territoire de l'Ukraine, mais sans préciser duquel type de vidéo il s’agissait.


Paradoxalement,  l'Union européenne , et sous l'impulsion des Etats-Unis a élargi sa  liste de sanctions contre la Russie et l'Ukraine en y incluant  les Républiques auto-proclamées populaires de Donetsk et de Lougansk, indique le journal officiel de l'UE.

Après avoir pris une décision, le Conseil européen a ajouté à sa «liste noire» actuelle 15 personnes et 18 organisations et entreprises.

La liste également comprend l’Etat fédéral Novorossia, le bataillon Vostok, l'Armée du Sud-Est, la Garde de Lougansk, les ports maritimes de Kertch et de Sébastopol et le service de ferry à Kertch.

Dans la «liste noire» figurent, en particulier, le chef du Service fédéral de sécurité Alexandre Bortnikov, le directeur du service des renseignements extérieurs Mikhaïl Fradkov, le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, le gouverneur du kraï de Krasnodar Alexandre

Avec la Voix de la Russie