"plus de 80,000 terroristes de par le monde avaient adhéré au Jihad Wahhabite et extrémiste pour combattre la Syrie"..

 Le ministre des affaires étrangères syrien , Walid Mouallem, a affirmé que la Syrie avait averti durant les trois années passées que l’offensive dont elle fait l’objet portera atteinte à la région entière, soulignant que "plus de 80,000 terroristes de par le monde avaient adhéré “au Jihad Wahhabite et extrémiste” pour combattre la Syrie, selon la chaine satellitaire iranienne .

Dans un article publié par le journal chinois Global Times sous le titre “Le chaos syrien, résultat de la politique de double standard”, Mouallem a souligné que "des forces bien connues et soutenues par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux ferment les yeux quant aux crimes perpétrés par les groupes terroristes armés contre les innocents et toutes les institutions économiques, industrielles et culturelles en Syrie dans le but de plonger le pays dans l’obscurantisme".

Il a ajouté que "tous les crimes perpetrés avaient consolidé l’unité nationale du peuple syrien et l’avaient poussé à former un front unifié pour défendre sa patrie, soulignant à cet effet la vaste participation des Syriens au scrutin présidentiel pour élire leur président".

Mouallem a insisté sur l’importance à ce que "l’Occident et ses alliés régionaux cessent leur soutien  aux terroristes pour atténuer la dureté de la violence en Syrie".

Et de poursuivre : “Les forces occidentales refusent  de reconnaître que leur soutien aux groupes terroristes dans leur guerre contre la Syrie est la raison  de la souffrance  des Syriens”.

Mouallem a souligné "la nécessité d’admettre que le processus politique est la seule issue à la crise en Syrie qui œuvre pour la résoudre en engageant un dialogue national inter-syrien et sous une direction syrienne".

“Il ne faut pas permettre aux terroristes de mener une autre attaque terroriste chimique qui serait un prétexte pour les forces occidentales d’agresser la Syrie”, a fait allusion Mouallem qui a souligné la coopération complète du gouvernement syrien avec les Nations Unies et l’Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques, ainsi que "l’élimination de ses armes chimiques pour ne pas laisser des prétextes aux terroristes et à leurs sponsors d’attaquer la Syrie".