Selon le site al-Mayadeen, le journal a expliqué que la participation de Barack Obama à la séance d’ouverture de la réunion des commandants militaires des pays membres de la coalition vise à dissiper les doutes sur l’engagement de Washington à long terme, surtout que les participants ont averti que la campagne durera longtemps.
 

« De profondes divergences » frappent les membres de la coalition sur fonds de la position de certaines parties quant au renversement du pouvoir en Syrie. 

La Turquie par exemple, cite le journal, a rejoint la coalition mais « elle n’a pas dépêché ses plus hauts commandants militaires à l’instar des autres pays ». 
 

De plus, les demandes de la Turquie et de la France de mettre en place une zone d’exclusion aérienne dans les territoires syriens sont fortement contestées par les Etats-Unis, l’Allemagne et d’autres pays.  
 

Dans un rapport séparé, le journal Washington Post a souligné que « la guerre contre Daesh a échoué surtout que cette organisation n’a pas subi de revers, au contraire ses forces continuent de progresser en Syrie et en Irak ». 
 

Ce même journal a accusé le président Barack Obama d’avoir « exagéré dans son optimisme ou de s’être trompé… il a réalisé dès le début que la crise est avant tout politique et qu’elle ne peut être résolue par une action militaire ».
 

Et d’appeler Obama à retourner à sa politique initiale, celle de rester hors du conflit en Irak et en Syrie. 

Source: alalam, Washington Post