La répression de ceux qui refusent la sexualisation précoce aux enfants bat son plein: 100 enfants par jour privés de leur parents
La répression outre-Rhin dans le domaine de la politique familiale et de l'éducation continue. En France les médias et les responsables politiques, comme l'actuelle Ministre de l'éducation, expliquent que la théorie du genre est un produit de l’imagination et qu’elle n'existe pas, et que des cours de sexualisation précoce des enfants dans les petites classes sont un fantasme.
En janvier 2014, nous avions dans un article parlé des dégâts de l'éducation du Genre et de parents en Allemagne qui sont menacés d'être mis en prison quand ils, ou leurs enfants, refusent les cours de sexualisation, cours sur le Genre dans le primaire.
En Allemagne des enfants tombent littéralement dans les pommes durant ces cours ou refusent d'y retourner. Quand les enfants ne vont pas en cours du Genre, l'école menace les parents et dépose une plainte si les parents ne veulent pas obéir. Puis la justice condamne les parents à payer une amende. Si par principe, les parents refusent de payer l'amende, c'est la police qui se présente à leur domicile pour les mettre en prison !
Aujourd'hui c'est une mère d'un des couples déjà menacés de prison qui doit être mise derrière les barreaux. Ce 15 novembre, une manifestation a lieu à Dresde pour demander d'arrêter les cours de sexualisation précoce dans les écoles élémentaires, le Gender (Stoppt die Frühsexualisierung an Grundschulen).
L'association Besorgte Eltern, qui a organisé sa dernière manifestation le 25 octobre contre le Gender à Augsbourg, lance un appel à l'aide au niveau international pour aider la famille Martens et pour dénoncer ces horreurs. L'enseignement de la théorie du Genre est bien réelle et Besorgte Eltern souhaite voir au niveau international les gens s'organiser pour dénoncer et stopper les cours du Gender dans les écoles primaires.
Arrestation. La famille Martens vit dans une jolie maison avec ses neuf enfants. Le 24 octobre 2014, la police a voulu arrêter Madame Martens car une de ses filles n'était pas allée en cours de sexualisation précoce donnée à l'école élémentaire il y a trois ans. Monsieur Martens a été emprisonné l'année dernière pour la même raison car il avait refusé de payer une amende. Les Martens ont un bébé, leur neuvième enfant, que la mère doit allaiter. Un policier est venu frapper à la porte des Martens pour emmener la mère. La voyant tenir son nourrisson dans ses bras, le policier a décidé de ne pas intervenir et de laisser du temps à la mère pour pomper du lait pour le bébé pour quand elle serait en prison. En Allemagne, les parents touchés par ces affaires vivent dans la psychose et la peur, et filment et enregistrent tout pour avoir des preuves. C'est d'ailleurs en voyant la caméra qui le filmait que le policier a décidé de ne pas intervenir sur le champ.
Dans cette vidéo qui date du 24 octobre nous voyons un policier se rendre au domicile des parents et parler avec M. Martens. Le policier se tient devant la porte de la maison.
Derrière M. Martens, nous voyons Mme Martens qui porte son nouveau-né dans ses bras et leurs enfants qui écoutent la conversation du policier. M. Martens dit au policier que leur seul moyen de défense est de montrer aux médias ce qui leur arrive car la justice a échoué. « Nous avons déjà parlé hier. Vous avez dit que vous ne pouvez rien faire et que vous appliquez la loi. Mais nous ne trouvons pas du tout correct de séparer une mère de son nourrisson. Vous voulez faire votre job et arrêter ma femme ?», dit M. Martens au policier.
« Non, nous n'allons pas le faire maintenant», répond le policier. « Nous ne voyons aucune faute de notre part et nous ne sommes pas prêts à payer les 30 euros. Il n'est pas question de la somme mais du principe. La justice a simplement échoué et le droit est simplement bafoué. Un Etat qui doit garantir les droits fondamentaux fait exactement l'inverse », dit M. Martens. Le policier, voyant qu'une caméra le filme répond : « Comme votre femme allaite maintenant votre fils, je ne vais pas l'emmener. Je dois employer la force mais je ne veux pas le faire maintenant. Je vous fait remarquer que l'affaire n'est pas finie. Le bureau du procureur veut faire appliquer la décision de justice. Quelqu'un va passer de nouveau. »
Pays destructeur de famille. Il faut rappeler qu'en Allemagne, un pays qui compte plus de 1,6 million d'enfants de moins de 15 ans vivant dans la pauvreté (chiffre du 10 octobre 2014), la police et le Jugendamt retire tous les jours 100 enfants à leurs parents. Souvent la justice allemande utilise de fausses expertises et de faux témoignages pour intervenir et souvent les parents forment malgré les aléas de la vie des familles stables.
Ainsi, chaque année, de nombreuses familles totalement normales et équilibrées vont plonger dans l'horreur de la répression. La police rentre dans les domiciles et volent avec violence les enfants. Les parents qui tentent de défendre leurs enfants sont menottés et les cas ne sont pas rares où ils sont envoyés en psychiatrie et ne revoient plus leurs enfants. Pour la famille Martens, nous avons le cas d'une famille qui réussit dans la vie, qui a réussi à avoir une grande famille mais qui est aujourd'hui menacée par le système allemand devenu fou et dangereux à cause de l'obligation de suivre les cours de sexualisation précoce.