Le peuple irakien mène sa lutte contre Daesh au nom du monde entier. L
Les responsables russes et irakiens mènent des concertations, dans le cadre des coopérations bilatérales censées éradiquer le terrorisme, en Irak.
Le ministre irakien des Affaires étrangères, Ibrahim al-Jaafari, et le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, se sont entretenus, à Bagdad, des relations bilatérales et de la situation sécuritaire et politique, en Irak, et dans la région, évoquant, aussi et surtout, la nécessité de soutenir Bagdad, dans la lutte contre Daesh.
«Les attaques cinglantes des forces irakiennes ont infligé des coups durs au groupe terroriste-takfiri de Daesh, qui sera éradiqué bientôt», a affirmé, lors de cette rencontre, le chef de la diplomatie irakienne.
Les évolutions de l’Irak focalisent l’attention des milieux mondiaux, tandis que les différentes parties internationales insistent sur la place particulière de l’Irak, aux côtés de la Syrie, dans la lutte anti-Daesh, rappelant, du coup, l’exigence de soutenir ces deux pays, sur la ligne de front de la lutte contre les terroristes.
Alors que Bagdad est devenu le foyer des concertations politiques, (sur la guerre contre le terrorisme), le front arabo-occidental n’a lésiné, pour sa part, sur aucune conspiration, pour affaiblir l’Irak, qu’il souhaite, en outre, conduire à la partition.
Le front-arabo-occidental a essayé, en fait, différents moyens, consistant, surtout, à stipendier les terroristes et à les envoyer, en Irak et en Syrie, afin de réaliser leurs complots contre ces deux pays.
Pourtant, l’armée irakienne, soutenue par les forces populaires, a résisté, face aux terroristes, en leur infligeant des échecs cuisants, dans différentes régions du pays.
Les opérations et la coordination des forces irakiennes, dans la lutte contre Daesh, a fait retourner le pays sur le chemin de la sécurisation et a fait perdre aux ennemis de l’Irak toute chance de réaliser leurs complots funestes.
En réalité, Daesh est une nouvelle crise sécuritaire, qui inquiète tous les pays du monde, la plus grande menace sécuritaire qu’ont jamais connue l’Irak et même, toute la planète. Daesh ne reconnaît aucune ligne rouge ; il recrute des terroristes de tous les pays, et c’est, en fait, au nom du monde entier, que le peuple irakien mène sa lutte contre ce groupe terroriste.
Aucun pays, ni aucun peuple du monde ne se sent aujourd’hui à l’abri du danger de Daesh. Les filiales des groupes terroristes, comme Daesh et Al-Qaïda, sont actives, sous les appellations différentes d’Ansar Al-Charia, du Front Al-Nosra, de Boko Haram et Shebab, dans presque toutes les régions de l’Afrique, de l’Asie, voire, de l’Europe.
Cette situation fait retentir la sirène d’alarme, pour la sécurité universelle, et qu’on croyait n’entendre, auparavant, qu’en Irak et en Syrie. La sirène d’alarme se fait entendre, peu à peu, dans beaucoup de pays du monde…
Irib