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3 inventions « modernes » qui existaient déjà il y a des millions d’années

3 inventions « modernes » qui existaient déjà il y a des millions d’années

Il existe plusieurs preuves montrant l’existence de civilisations préhistoriques aussi avancées que notre civilisation moderne

L’univers contient de nombreux mystères mettant au défi notre connaissance actuelle. Avec « Au-delà de la Science », Epoch Times vous invite à découvrir ces phénomènes peu communs qui ouvrent notre imaginaire et le champ des possibles. Ces faits sont-ils réels ? Seul le lecteur peut en décider.

Il existe plusieurs preuves montrant l’existence de civilisations préhistoriques aussi avancées que notre civilisation moderne… ou peut-être même plus. De telles preuves pourraient remettre en question toutes les certitudes des scientifiques. Mais après tout, ce ne serait pas la première fois, l’histoire montre que la science s’est grossièrement déjà trompée et à d’innombrables reprises.

Les changements de paradigme ont toujours été accompagnés d’abondantes controverses. Les découvertes suivantes ont été contestées en leur temps, mais certains scientifiques ont soutenu qu’elles constituaient la preuve incontestable qu’il y a des dizaines de milliers d’années, voire des millions d’années, les humains ont marché sur la terre avec autant de connaissances et de culture que les gens d’aujourd’hui.

1.    Un réacteur nucléaire de 1,8 milliards d’années

En 1972, une usine française importait du minerai d’uranium de Oklo, en République du Gabon en Afrique. À leur grande surprise, les ingénieurs ont découvert que l’uranium avait déjà été utilisé.

Ils ont poussé leur recherche et ont découvert que le site avait été un gigantesque réacteur nucléaire, très avancé, qui serait entré en fonction il y a 1,8 milliards d’années et qui aurait fonctionné pendant environ 500 000 ans.

Plusieurs scientifiques se sont réunis pour mener l’enquête, et nombreux sont ceux qui ont refusé cette hypothèse en disant qu’il s’agissait d’un merveilleux, mais naturel, phénomène.

Le Dr Glenn T. Seaborg, ancien directeur de la Commission de l’énergie atomique des États-Unis et lauréat du prix Nobel de Physique pour son travail dans la synthèse des éléments lourds, avait expliqué pourquoi il estimait qu’il ne s’agissait pas d’un phénomène naturel, et donc que cela devait être un réacteur nucléaire construit par l’homme.

Pour que l’uranium puisse « chauffer » dans une réaction nucléaire, les conditions nécessaires sont très précises. L’eau doit d’abord être extrêmement pure. Beaucoup plus pure que celle qui existe naturellement dans le monde entier.

Ensuite il faut le composant U-235 pour que la fission nucléaire puisse se produire. Il est l’un des isotopes naturellement présents dans l’uranium.
Plusieurs spécialistes en ingénierie nucléaire ont dit qu’ils pensaient que l’uranium d’Oklo ne pouvait pas avoir été assez riche en U-235 pour qu’une réaction ait pu y avoir lieu naturellement.

En outre, il semble que le réacteur était bien plus avancé que ce que nous pouvons construire aujourd’hui. Il avait plusieurs kilomètres de long et son impact thermique sur son environnement avait été limité à 40 mètres tout autour. Les déchets radioactifs étaient encore présents entourant les éléments géologiques et n’avaient pas migré au-delà du site de la mine.


2.    Des pierres péruviennes montrent un télescope antique, et des vêtements de style moderne

Il est connu que Galileo Galilei a inventé le télescope en 1609. Cependant, une pierre que l’on croit avoir été gravée il y a 65 millions d’années, montre une silhouette humaine tenant un télescope dans ses mains et en observant les étoiles.

Environ 10 000 pierres conservées au Musée Cabrera d’Ica au Pérou, montrent des hommes préhistoriques portant des coiffures, des vêtements et des chaussures. Les pierres représentent des scènes semblables à des transplantations d’organes, des césariennes, des transfusions sanguines et quelques unes montrent des rencontres avec des dinosaures.

Alors que certains disent que les pierres ne sont pas authentiques, le Dr Dennis Swift, du département d’archéologie à l’Université du Nouveau-Mexique, a apporté les preuves dans son livre « Les secrets des pierres d’Ica et de Nazca » que les pierres dataient de l’époque précolombienne.
Selon Dennis Swift l’une des raisons pour laquelle les pierres ont été considérées comme fausses dans les années 1960 est qu’à l’époque on croyait que les dinosaures marchaient en traînant la queue, alors que les pierres représentaient des dinosaures avec les queues relevées. C’est pourquoi elles ont été qualifiées de falsifiées.
Des études ultérieures ont montré, cependant, que les dinosaures marchaient probablement avec leurs queues relevées, comme représenté sur les pierres.

3.    Des cultures avancées dans les peintures rupestres

Les grottes de La Marche dans le centre-ouest de la France montrent des représentations vieilles de plus de 14 000 ans, avec des hommes ayant les cheveux courts, une barbe entretenue, des vêtements sur mesure, faisant de l’équitation… en somme avec un style moderne loin des peaux d’animaux et des cheveux hirsutes que l’on imagine habituellement.

Ces peintures ont été authentifiées en 2002. Des chercheurs, comme Michael Rappenglueck de l’Université de Munich, insistent pour que ces artefacts ne soient pas tout simplement ignorés par la science moderne.
Michael Rappenglueck a étudié les connaissances astronomiques des hommes du paléolithique. Il écrit: « Depuis quelques années, il y a une couverture plus large des médias (sous forme de journaux, de documentaires télévisés, de sites web et de programmes de planétarium) pour sensibiliser à la proto-astronomie (ainsi qu’aux proto-mathématiques et à d’autres proto-sciences) de la période paléolithique ».


Certaines des pierres de la grotte de La Marche sont exposées au Musée de l’Homme à Paris, mais celles qui montrent clairement les hommes préhistoriques avec une culture et une pensée avancées ne sont pas montrées.


Quand des peintures datant de plus de 30 000 ans ont été découvertes dans des grottes européennes au 19e siècle, elles ont remis en question la compréhension généralement acceptée de la préhistoire. L’un des plus grands critiques de leur découverte fut Emile Cartailhac. Mais il est revenu sur ses conclusions quelques décennies plus tard devenant un ardent défenseur du fait que les peintures étaient bien authentiques et qu’il fallait sensibiliser le monde scientifique de leur importance.

Il est maintenant considéré comme l’un des pères fondateurs de l’étude des peintures rupestres.


Les premières peintures ont été découvertes par Don Marcelino Sanz de Sautuola, un noble espagnol, et sa fille, Maria, en 1879 dans la grotte d’Altamira. Elles montraient une sophistication des dessins inattendue. Leur découverte a été rejetée, jusqu’au début du 20e siècle, quand Emile Cartailhac a publié une étude sur ces peintures.

 

Source : Epoch Times ; traduit par L’@claireur