Douze ONG seront examinées pour déterminer si elles devraient être incluses dans le registre des organisations indésirables en Russie
La Russie va enquêter sur les activités des ONG philanthropiques. Douze ONG seront examinées pour déterminer si elles devraient être incluses dans le registre des organisations indésirables en Russie.
Dans les cercles libéraux respectables de l’Amérique Blue State [parti démocrate, NdT], George Soros est connu comme un vieil homme riche et bon, mécène important du Center for American Progress – la version démocrate de la faillite intellectuelle progressiste de la Fondation néoconservatrice républicaine The Heritage Foundation. (En bref : ces deux think tanks odieux vendent la même soupe néo-con satanique.)
Tragiquement, certains pays ne se rendent pas pleinement compte de toutes les belles choses que cette généreuse fondation, lourdement investie dans le discours Raytheon – entreprise multinationale de l’armement démocrate –, fait chaque jour pour promouvoir la liberté, qui habituellement ne peut être atteinte qu’en utilisant contre les civils les armes meurtrières fabriquées par Raytheon.
Un de ces pays est particulièrement concerné, la Russie bien sûr.
L’Open Society Fondation de Soros, avec 11 autres ONG, a été placée sur une stop liste par la chambre haute du parlement russe, le Conseil de la Fédération, et affrontera maintenant l’examen du Bureau du Procureur général, du ministère des Affaires étrangères, et du ministère de la Justice.
Si l’enquête conclut que George Soros est un vil sous-marin des intérêts du Département d’État US et de la CIA – et c’est probable –, la Fondation Open Society sera déclarée dans le registre des organisations indésirables en Russie.
Cela signifie que la fondation de George Soros travaillant pour le changement de régime en Russie devra s’enregistrer comme un agent étranger et changer d’activité si elle veut rester là-bas.
Le plus tôt sera le mieux.
Sources : Russia Insider ; traduit par le Saker francophone, revu par E&R.