Et comment il planté son engin explosif à quelques mètres d’une casernw israélienne
Les chefs militaires israéliens ne savent toujours pas comment le Hezbollah a planté son engin explosif à quelques mètres de la caserne de Zibdine , dans les hameaux occupés de Chébaa et à travers lesquels un véhicule Hummer a été réduits en miettes, tuant et blessant ceux qui étaient à son bord
Selon le site d’information français sioniste, JForum , ils n’ont pas découvert de faute particulière dans les préparatifs minutieux et les contre-mesures que les contingents présents sur les lieux ont mis en place en prévision d’une attaque, depuis la menace du secretaire general du Hezbollah de riposter à l’élimination de Samir al-Kantar à Damas le 20 décembre.
JForum assure qu’en plus des postes d’observation disséminés tout le long de la frontière, une contre-mesure réputée imperméable avait été installée : « une zone électronique imperméable » contiguë à la barrière électronique de la frontière qui est jonchée de capteurs de haute-technologie et d’autres dispositifs conçus pour réagir comme des fils de déclenchement d’alerte à la moindre intrusion.
« Le fait que le Hezbollah ait été capable de déposer une bombe du côté israélien de la frontière a prouvé que ce système élaboré ne fonctionnait pas », écrit le site selon lequel Tsahal devraient repenser sérieusement les mesures défensives mises en place sur les frontières nord avec la Syrie et le Liban, avant que le Hezbollah ne cherche à nouveau à porter des frappes.
D’autant que les chefs de l’armée israélienne sont convaincus que le Hezbollah ne s’en tiendra pas là et qu’il n’a pas, pour autant, mis un terme à sa campagne de « vengeance », donc qu’il pourrait réutiliser la même méthode pour d’autres attaques à venir.
Le site d’information israélien a rapporté l’une des explications avancées par des medias libanais : le fait que le Hezbollah a creusé un tunnel souterrain. Mais il n’y a aucune trace de tunnel, a-t-il rétorqué.
Il a rappelé l’existence au sein de la Résistance d’une unité commando spéciale baptisée Force Redwane, spécialement entraînée à d’éventuelles incursions, pour des missions offensives, dont entre autre la prise de localités en otages.