Le chef de l’équipe iranienne des experts nucléaires, à Vienne, Hamid Baïdinejad, a écrit sur sa page Instagram que "les Iraniens doivent s’attendent à de bonnes nouvelles "..

Le  chef de l’équipe iranienne des experts nucléaires, à Vienne, Hamid Baïdinejad,  a écrit  sur sa page Instagram que  «  les Iraniens doivent s'attendent à de bonnes nouvelles " soulignant que " de beaux moments marquants sont entrain de s'inscrire  dans l’Histoire de notre cher pays» selon la chaine satellitaire iranienne alAlam.

Il a ajouté : «Si vous étiez ici, dans nos réunions, vous auriez été témoin de la dignité et de la fierté dont jouit désormais notre grande nation».

Auparavant,  le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqtchi, avait déclaré que "les inspecteurs de l’Agence internationale de l’Energie atomique publieraient leur nouveau rapport sur le respect de l'Iran  de ses engagements  ce vendredi".

Araqtchi avait indiqué que soit " vendredi, samedi ou dimanche, le Plan global d’action commune et la levée des sanctions anti-iraniennes devront entrer en vigueur officiellement".

Pour sa part, le président du Parlement iranien, Ali Larijani a haussé le ton envers les Saoud en affirmant  que   «le régime des Saoud  a fait baisser les cours du brut, au lendmain de la conclusion du Plan global d’action commune, dans le but d3empêcher l’Iran d'en tirer profit».

S'exprimant lors d'un discours prononcé devant des Imams des mosquées de la province de Qom, au Sud de Téhéran,  Larijani a déclaré que "l’Iran a acquis la technologie  nucléaire  jamais elle n'a eu l'intention de fabriquer des armes atomiques".

Et de poursuivre : "Il existe des éléments, qui sabotent les négociations nucléaires, notamment l’Arabie saoudite et cette dernière encourage certaines parties à perturber les négociations et à compliquer l’aboutissement d’un accord".

Et d’ajouter : "Lorsque les négociations nucléaires se sont rapprochées de l’étape finale, les Saoudiens ont décidé de baisser les cours de brut, d’où la dégringolade des cours, qui ont chuté jusqu' à 30 dollars le baril".