L’affaire des réservoirs de Haïfa tourne en rond.
Les ondes de choc de la « bombe atomique » de Sayed Nasrallah se poursuivent en Israël.
Et l’affaire des réservoirs d’ammoniac de la ville de Haïfa tourne en rond, sans parvenir à lui trouver une solution.
Depuis que le numéro un du Hezbollah a menacé de les bombarder au cas où l’armée israélienne attaque la banlieue-sud de Beyrouth, les soucis des un million d’habitants de cette localité ne semblent pas se dissiper pour bientôt.
Il semble même qu’il faudrait qu’ils s’adaptent à rester toujours sous cette menace, jusqu’à l’an 2020, indique la 10ème chaine de télévision israélienne. Faute d’avoir trouvé preneur de l’ammoniac.
Selon les médias israéliens, cité par le journal libanais al-Akhbar, les habitants du sud de la Palestine occupée, destination suggérée pour abriter ce gaz toxique, refusent catégoriquement de le faire. Cette proposition avait été faite plusieurs fois par la municipalité de Haïfa qui nommait la localité Michour-Hrotum, dans le Néguev au sud, sans jamais être écoutée par le gouvernement israélien.
Et les municipalités du sud ont toujours affiché une fin de non recevoir à ce gaz dont l’effet est similaire à celui d’une bombe atomique, en cas d’explosion, laquelle peut causer la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes.
D’autant que le Hezbollah détient selon les prévisions de l’armée israélienne des missiles dont la portée peut atteindre ces régions lointaines.