D’une pseudo-démocratie libérale-libertaire à une dictature libérale, sécuritaire, totalitaire, et sioniste.
Du fait que le système électoral français est aristocratique et non démocratique, il n’est pas surprenant que François Hollande ait maintes fois abusé de ses pouvoirs depuis sa prise de fonction en 2012.
Suite aux attaques terroristes l’année dernière à Paris, le Président de la République a adopté une politique intérieure Orwellienne – politique qui permet, par exemple, à son gouvernement d’espionner les citoyens français, de faire condamner des sites internet “terroristes“, et de criminaliser le militantisme anti-sioniste.
Cette politique bloque la diffusion d’informations susceptibles de démasquer les activités criminelles de l’administration Hollande en France et à l’étranger au côté des États-Unis et de ses alliés sionistes.
L’état d’urgence facilite clairement l’adoption de telles mesures en permettant aux autorités administratives de prendre des initiatives sécuritaires pendant une période maximum de 12 jours sans surveillance ou mandats de perquisition judiciaires.
Ces actions empêchent toutes enquêtes indépendantes sur l’acte criminel à l’origine de la crise. En effet, elles permettent au gouvernement d’utiliser ses pouvoirs extraordinaires afin de forcer les journalistes (via menaces physiques, procès judiciaires, et sanctions économiques) à se conformer à des politiques qui mettent l’accent sur la sécurité et non la liberté (censure, espionnage…).
De plus, l’état d’urgence permet les arrestations discriminatoires et abusives contre les musulmans et, à Lyon, les fouilles de sécurité dès la maternelle. Ainsi, la France est passée d’une pseudo-démocratie libérale-libertaire à une dictature libérale, sécuritaire, totalitaire, et sioniste.
Ce processus est bien connu aux États-Unis, où ces mêmes méthodes furent employées après le 11 septembre 2001. Il est important de savoir que le gouvernement fédéral américain n’a d’une part jamais enquêté officiellement sur ce qui s’est passé ce jour-là et d’autre part n’a pas consulté le peuple étasunien avant d’adopter le Patriot Act et d’envahir l’Irak.
Avec le recul du temps, nous savons désormais, grâce aux travaux de Christopher Bollyn et autres, que des réseaux de renseignement israélo-étasuniens avaient empêché la découverte des faits sur le 11-Septembre en contrôlant étroitement l’enquête et l’accès aux éléments de preuve, l’interprétation médiatique de l’évènement, ainsi que les litiges connexes.
Aujourd’hui, l’histoire se répète, mais cette fois en France, car l’état d’urgence fait partie d’une campagne mondiale pour prévenir la diffusion de “théories du complot” sur internet:
“En 2008…le gouvernement des Etats-Unis avait décidé de financer des individus, à la fois chez lui et à l’étranger, pour perturber les forums des sites internet ‘conspirationnistes’ et pour créer des groupes leur apportant la contradiction.
Ceci n’ayant pas suffi, la France est appelée à prendre des mesures autoritaires. Comme par le passé, les élites françaises, dont le Parti socialiste forme l’aile prétendument de gauche, se sont placées aux ordres de la principale puissance militaire de l’époque, en l’occurrence les États-Unis.”
Sam Scheichner du Wall Street Journal nous confirme l’intention de coopération entre les États-Unis et la France afin de réprimer tout “contenu terroriste” sur internet :
“Au cours de sa prochaine visite [à la Silicon Valley en Février 2016], Cazeneuve dit qu’il va rencontrer les entreprises étasunienne afin de ‘mettre à jour notre niveau de coopération’, et également obtenir conjointement avec le procureur général des États-Unis Loretta Lynch et le Secrétaire d’état à la sécurité intérieure Jeh Johnson de discuter de leur récente action en vu de freiner le contenu terroriste sur les médias sociaux.”
“Les USA veulent maintenant aussi travailler avec les opérateurs pour contrer le contenu terroriste sur Internet, dit Cazeneuve. Notre audace a payé, et maintenant nous sommes la scolarisation d’autres, et je suis très heureux à ce sujet.”
L’optimisme apparent de l’actuel ministre de l’Intérieur sert commodément à cacher le fait que la NSA a espionné les trois derniers présidents français; que le terrorisme sous faux drapeau est une entreprise israélo-étasunienne ; que l’idée d’un “contenu terroriste” peut tout signifier, et donc que l’idée de “contrebalancer tout contenu terroriste” peut à l’avenir impliquer une répression non seulement sur l’information publique (théories du complot), mais aussi sur le cryptage des communications privées – soit, une mise sous surveillance de la politique sur la vie publique et privée du peuple français que l’état d’urgence sert à faciliter.
Donc le peuple français a affaire à un gouvernement anti-démocratique et sioniste qui répond aux «attentats terroristes» en trouvant des moyens de lutter contre le terrorisme sans chercher à comprendre ce qui aurait pu enclencher ces attentats en premier lieu. Réaction typique qui sert à répandre la peur, à empêcher la diffusion d’informations subversives, et à masquer l’identité des vrais opérateurs.
De plus en plus de français se rendent compte du fait qu’internet est le seul endroit où ils peuvent débattre librement de ces problèmes, le seul outil qui leur permet de recevoir sur un pied d’égalité l’information – qu’elle soit ou non subversive – et leur fournit un lieu où penser librement et qui transcende les antagonismes de classe.
L’accès à l’information publique sur internet est aussi la meilleure défense contre les erreurs de jugement et la désinformation en permettant aux internautes de juger l’actualité de manière plus objective dans la mesure où ils sont moins dépendants aux influences gouvernementales.
Ainsi, le gouvernement Hollande est-il pressé de répondre à la “menace terroriste” en étendant l’état d’urgence en France et en cooptant les idiots utiles de la “complosphère”.
Source: Mondialisation