"Il ne faudrait pas négliger le rôle des Etats-Unis d’Amérique dans ce domaine".
« L’Arabie et la Grande-Bretagne font partie des problèmes de Bahreïn et ces deux pays ne pourront présenter aucune solution », c’est ce qu’a affirmé le président de la Coalition du 14 février de Bahreïn.
Selon la chaîne arabophone iranienne, Al-Alam le président de la Coalition du 14 février de Bahreïn a souligné que le régime des Ale-Saoud envahit toujours Bahreïn et qu’il réprime violemment les opposants et pratique des tortures les plus sauvages à leur encontre.
Les couverture politiques, a-t-il réitéré, restent la première étape de ces crimes commis ouvertement dans cette petite monarchie du golfe.
« Outre le soutien en matière de renseignement et de sécurité censé exercer une poursuite judicaire contre des opposants, la Grande-Bretagne apporte ses soutiens manifestes au régime des Ale-Khalifa qui viole des droits de l’Homme, a-t-il martelé ajoutant : « Il ne faudrait pas négliger le rôle des Etats-Unis d’Amérique dans ce domaine. La complicité reste le moindre rôle des Etats-Unis en cette matière et bien que le ministère des A.E. envisage de camoufler ce rôle mais il ne pourra jamais cacher la réalité de la position ambigüe de l’administration américaine sur des questions de la région et des droits de l’Homme ».
Depuis le 14 février 2011, Bahreïn reste la scène du soulèvement pacifique populaire anti-régime.
Les Bahreïnis réclament la liberté, le rétablissement de la justice et la levée de discrimination et la mise sur pied d’un régime élu au suffrage universel dans leur pays.
Mais ces exigences se sont heurtées à la répression du régime de Manama, soutenu par certains pays arabes dont l’Arabie saoudite.
Avec PressTV