Selon le directeur du Département de la sécurité internationale au ministère des Affaires étrangères, Hamid BaidiNejad
Le directeur du Département de la sécurité internationale au ministère des Affaires étrangères, Hamid BaidiNejad a affirmé que "l'Iran ne se reposera point tant qu'il n'aura pas supprimé pas tous les obstacles bancaires et financiers et que seront executés tous les objectifs de l'accord nucléaire" , a rapporté l'agence d'informations iranien Farsnews.
Et d'ajouter :"L'Iran dispose de suffisamment de moyens pour faire pression sur l'autre partie, mais cela ne doit pas nous amener à oublier que nous avons réussi à défendre notre droit à l'enrichissement et à réduire les obstacles du Plan global d'action conjoint , et à sauvegarder nos intérêts économiques et commerciales ."
Et de poursuivre :"En 1384 du calendrier iranien (c.-à-d.en 2005, NDLR), date à laquelle les résolutions du Conseil de sécurité et les sanctions internationales n'existaient pas encore, 3 pays européens se sont déclarés prêts à faire des concessions politiques, économiques, commerciales et technologiques importantes à l'Iran en contrepartie de la cessation de l'enrichissement d'uranium".
"La raison pour laquelle l'accord de Genève et le Plan global d'action conjoint ont porté leurs fruits, c'est que les pays membres permanents du Conseil de sécurité ont accepté, malgré les exigences des résolutions de ce conseil quant à l'enrichissement de l'uranium en Iran, d'annuler les résolutions et de lever les sanctions", a précisé Baidinejad.