Le journal a souligné que « le Bahreïn - dans le cadre de sa politique raciale, a de nouveau arrêté un militant des droits de l’homme , Nabeel Rajab , qui rejoint la longue liste des prisonniers politique».
Selon l’éditorial du journal Financial « la décision du gouvernement du Bahreïn de déchoir de sa nationalité le haut dignitaire religieux cheikh Issa Qassem, l’une des plus importants personnalités religieuses à Bahreïn et guide spirituel de l’association d’opposition alWefac constitue une grave provocation grave » a rapporté le site d’informations iranien Farsnews.
Le journal a estimé que « cette décision risque d’enflammer les tensions sectaires dans la région et de provoquer de plus amples manifestations de protestation à Bahreïn ».
« Dans le cadre de la politique du Bahreïn appliquée contre les opposants politiques depuis le mois dernier, les autorités bahreïnies ont suspendu les foncions du plus important parti chiite d’opposition alWefac. Ils ont également doublé la durée de détention du Secrétaire général d’alWefac cheikh Ali Salman, et empêchés de nombreux militants d'assister à une conférence portant sur les droits de l'homme à Genève. Enfin, Zeynab Khawaja a condamné à l'exil à l'étranger», ajoute le journal.
Le journal a souligné que « le Bahreïn - dans le cadre de sa politique raciale, a de nouveau arrêté un militant des droits de l'homme , Nabeel Rajab , qui rejoint la longue liste des prisonniers politique ».
Le journal a précisé que «cheikh Issa Qassem fait partie des 250 bahreïnis qui ont été déchu de leur nationalité bahreïnie ».
Le journal a conclu en disant que «les derniers événements menacent la stabilité du Bahreïn et cela devrait inquiéter Washington et Londres », notant que « Washington doit imposer de nouveau une interdiction sur l'achat d'armes, et la Grande-Bretagne de lui emboîter le pas, car il est temps de prendre des mesures sévères ».