Une affirmation contraire aux estimations prononcées par certaines organisations aux objectifs plutôt louches.
En 1972 le Club de Rome avait prédit qu’en l’an 2000 le pétrole serait épuisé. Le Club de Rome est une association d’experts de diverses disciplines venant de plus de 30 pays. Il a été créé en 1968 avec le prétexte de se mobiliser pour assurer l’avenir de l’humanité. Pourtant son véritable but paraît être en fait l’accélération de l’instauration du nouvel ordre mondial.
Aujourd’hui, plus de 15 ans après l’an 2000, la prédiction du Club de Rome s’avère être une fausse prophétie manifeste.
D’après l’ingénieur diplômé Hans-Joachim Zillmer, il existe aujourd’hui des provisions de pétrole comme jamais auparavant. Cela ne correspond pas du tout à l’opinion que le pétrole provient de micro-organismes, morts aux temps préhistoriques, et que pour cette raison il devrait s’épuiser un jour.
Il y a des scientifiques, comme Hans-Joachim Zillmer par exemple, qui défendent une autre opinion : la terre renferme de riches réserves de pétrole et de gaz naturel en leur stade préliminaire. Celles-ci se forment constamment sans qu’il y ait besoin d’organismes. Le méthane, principal composant du gaz naturel, provient sans cesse de l’hydrogène du noyau de la terre, combiné à l’oxyde de carbone qui est disponible en tant qu’élément constitutif partout dans l’univers. Le méthane sort sans arrêt d’innombrables trous dispersés sur toute la surface de la terre, aussi bien dans les profondeurs de la mer dans les Pockmarks (des dépressions en forme de cratères au fond de la mer) que sur la terre au travers de volcans de boue. Et le pétrole est formé de gaz naturel qui remonte des profondeurs de la croute terrestre.
Si Zillmer a raison, les sombres pronostics du Club de Rome ont surtout servi aux insatiables multinationales du pétrole qui ont profité pendant des années des prix excessifs des matières premières, et cela aux dépens de la population.
Source: KLA. TV