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11/9 : Une revue scientifique conteste la version officielle…

11/9 : Une revue scientifique conteste la version officielle…

Mais elle ne donne pas d’explication plus convaincante

Un magazine scientifique de renommée a contesté la version officielle sur l’effondrement accidentel des 3 tours du World Trade Center le 11 septembre 2001, sous l’impulsion des attaques d’avions, et opté pour la thèse qu’ils ont fait l’objet d’une démolition contrôlée.

Selon Fawkes News, ce périodique, Europhysics News, connu de la communauté de physique européenne détenu par l’European Physical Society a publié il y a 3 semaines une étude signée  par Steven Jones (ancien professeur de physique au Brigham Young University), Robert Korol (professeur émérite de génie civil à l’Université McMaster en Ontario et diplômé de La Société canadienne de génie civil et de l’Institut canadien des ingénieurs.

La lacune qu’ils ont décelée dans la version officielle : il est impossible que des incendies fassent s’effondrer des gratte-ciels en acier.

Tout d’abord, les auteurs rappellent que jamais avant ni après le 11 septembre un gratte-ciel avec une structure en acier ne s’était totalement effondré suite à un incendie. On voudrait pourtant nous faire croire que cet exploit est arrivé 3 fois le même jour au même endroit. La seule raison pouvant expliquer ces effondrements serait une démolition contrôlée.

L’étude détaillé dans le site Fawkes News évoque aussi le cas du bâtiment 7 de 8 étages qui rappelons-le n’a pas été touché par les avions mais qui s’est aussi effondré en chute libre en 7 secondes.  La version des faits selon laquelle il a lui aussi été ravagé par un incendie, dont le feu a été attisé par la présence d’essence diesel sur le lieu ne retient pas non plus l’attention des  auteurs de l’étude, d’autant que ce bâtiment aussi est construit en acier.

Expliquant les raisons pour lesquelles un incendie ne peut produire la chute d’un tel bâtiment, l'étude évoque entre autre : les feux ne sont pas assez chauds, la plupart des gratte-ciels ont des systèmes d’extinction d’incendie, les éléments de structure sont protégés par des matériaux ignifuges,  conçus pour les empêcher d’atteindre des températures de défaillance dans des délais déterminés, etc…

L’étude s’est arrêtée entre autre sur les images vidéo qui montrent que la partie supérieure de chaque tour s’est désintégrée dans les quatre premières secondes de l’effondrement et reproche aux conclusions officielles qu’elles ne fournissent aucune explication concernant la pulvérisation en plein ciel de la majeure partie du béton des tours, le quasi-total démembrement de leurs cadres en acier, ou l’éjection de ces matériaux jusqu’à 150 mètres dans toutes les directions. Ou que ces explications ne sont pas convaincantes.

Pour mieux expliquer ces effondrements, l’étude trouve mieux d’adopter la version des explosions rapportée dans les  récits de témoins oculaires, 156 témoins, dont 135 secouristes, lesquels auraient affirmé avoir vu et/ou entendu des explosions avant et/ou pendant les effondrements.

Basé sur l’observation des lacunes et des déficiences dans la version officielle qui en compte beaucoup, l’étude manque toutefois d’alibi qui vaille.

Elle aurait du à tout prix identifier la nature des explosifs qui auraient pu être  utilisés pour provoquer un tel effondrement énorme et dont la vérification ne saurait être plus facile, en scrutant la présence de ses résidus dans les décombres.