Elles ont été édifiées au Qatar, en Arabie et en Turquie
Des bases militaires ont été édifiées depuis un an en Arabie saoudite, au Qatar et en Turquie pour entrainer des mercenaires arabes et musulmans et les envoyer en Syrie.
C’est l’agence arabophone irakienne Nakheel News qui a publié cette information, à la foi d’un rapport du département du Proche Orient affilié à un service de renseignements d’un pays européen dont elle n’a pas précisé la nationalité.
Ces mercenaires sont entrainés par des militaires israéliens, américains et turcs, et perçoivent des salaires astronomiques.
Le rapport cite qu’il existe aussi des stations conçues pour transférer des armes en Syrie, via des trafiquants d’armes travaillant entre autre pour la société de sécurité américaine Black Water et dont le siège se trouve à Abu Dhabi et les dirigeants jouissent d’immunité judiciaire. L’une de ces stations se trouve au Liban et en particulier dans les régions qui sont sous le contrôle du chef du courant du Futur Saad Hariri et des Forces libanaises Samir Geagea.
Parmi les armements infiltrés des lance-roquettes d’épaule fabriqués aux États-Unis pour bombarder des sites sensibles.
Ce sont Doha et Riad qui financent l’achat des armements dont la plupart proviennent de dépôts américains, israéliens et turcs.
Mais ce sont les services de renseignements américains qui supervisent et commanditent ces opérations.
Celles-ci consistent à perpétrer des attentats terroristes contre les établissements officiels, et à liquider des personnalités universitaires et scientifiques syriennes.
Le rapport n’exclut pas l’éventualité de perpétrer des attaques contre des diplomates syriens à l’étranger, ou d’incendier des ambassades étrangères en Syrie, pour en incomber la responsabilité à la direction syrienne.
Selon le rapport, les mercenaires ont reçu l’ordre d’intensifier leurs attentats contre l’armée et les forces de l’ordre et contre les civils aussi pour les dissuader de participer aux manifestations de soutien au président syrien.