"Israel" a décidé de stopper toute activité dans les installations nucléaires en cas de chute de missiles au cœur de l’entité sioniste.
Citant un haut officier de l’armée israélienne, le quotidien israélien, Haaretz, a mis en garde contre le transfert des armes chimiques syriennes au Hezbollah.
Dans son édition de mercredi, cet officier a évoqué aussi les grandes menaces que pourraient constituer les missiles anti-chars détenus par la Syrie, le Hezbollah et les résistants à Gaza.
Ces missiles limiteront la capacité de l’armée et constitueront de vrais défis à l’armée dans les scènes de combats, et notamment à la frontière libanaise, poursuit-il.
Selon les estimations de l’armée israélienne, la Syrie détient 11500 missiles anti chars, le Hezbollah en possèdent 4000 et les combattants à Gaza 1700. Ces mêmes sources s’attendent à ce que l’armement de la résistance augmente de 40 %.
« Les armes syriennes seront transférées à l’opposition, au Hezbollah ou à une autre partie », s’inquiète à son tour l’armée israélienne notamment à propos de l’arsenal des armes chimiques.
Selon cette source, il se peut que les caches d’armes restent sous le contrôle du régime jusqu'à sa chute prévue au cours de cette année.
Quant à l’Iran, il aura besoin d’un an et demi pour la production d’armes à tête nucléaire, poursuit cette source.
Conformément aux allégations de l’armée israélienne, en cas de l’éclatement d’une nouvelle guerre dans la région qui devrait durer 3 semaines, près de 8 milles missiles s’abattront contre l’entité sioniste et notamment les infrastructures vitales et les installations énergétiques et stratégiques.
Dans ce contexte, le Haaretz a révélé que les autorités israéliennes ont décidé de stopper les activités dans les installations nucléaires en cas de chute de missiles au cœur de l’entité sioniste ou même en cas de menace d’une guerre.