Très inquiet, le THK a lancé un projet pour coder les communications entre les avions de chasse. Des ingénieurs turcs travaillent actuellement pour développer un système logiciel pour l’encodage.
Ce n'est pas la première fois que l'entité sioniste se voit accusée par des pays alliés d'espionnage..
En effet, cette fois-ci il 's’agit d'espionnage militaire, puisque selon le site turc Zaman , citant des sources médiatiques turques , les services de renseignement israéliens le Mossad écoute des conversations entre les pilotes turcs lors des vols d’entraînement militaire.
L'entité sioniste aurait mis sur écoute les conversations entre les pilotes d’avions de chasse turcs au cours de leurs vols d’entraînement de Konya, la troisième station la plus importante d’avions de chasse.
Selon le quotidien turc Habertürk , il s’agit d’une mission d’espionnage visant à trouver des détails sur les Forces aériennes turques (THK) et les programmes de formation des stratégies de vol..
Très inquiet, le THK a lancé un projet pour coder les communications entre les avions de chasse. Des ingénieurs turcs travaillent actuellement pour développer un système logiciel pour l’encodage.
A Konya, les jeunes aviateurs sont en cours de formation initiale avant de passer à l’entraînement au combat de préparation complète, qui est la phase finale d’entraînement pour devenir un pilote de chasseur F-16. Logiquement si « Israël », voulait espionner, il le ferait de préférence pour des pilotes qui ne sont pas en formation, souligne le quotidien
Dans le même contexte, il est intéressant de rappeler l’affaire de Jonathan Pollard: cet espion israélien, reconnu coupable en 1986 et qui a commis de tels dommages à l’encontre de la Sécurité Nationale US que des officiers de haut rang du Renseignement ont menacé de démissionner si Bill Clinton accédait aux demandes israéliennes de lui accorder son pardon.
Son arrestation avait révélé l’existence d’une 5ème colonne israélienne aux USA !
Pollard a été condamnée à la prison à vie pour avoir volé des secrets d’une telle valeur que l’Union Soviétique, selon ce qui a été rapporté par les médias amèrcains, a accepté de les acheté en échange de l’autorisation pour des dizaines de milliers de Russes Juifs d’émigrer en « Israël ».
Pollard disposait d’une autorisation top secret d’accès aux documents, et a pu se procurer une longue liste de documents pour ses contacts israéliens, mais ce qui a rendu perplexe – et alarmé – des officiers de haut rang des renseignements c’est qu’il connaissait les titres et dans certains cas les numéros de série de documents spécifiques. Ceux-ci ne pouvaient lui avoir été fournis que par quelqu’un occupant une position plus élevée – un responsable de haut rang familier de secrets ultra sensibles, dont il avait connaissance.
C’est ce qui a été à la base de soupçons durables comme quoi Pollard était la face émergée d’un réseau d’espionnage israélien profondément enraciné.
En plus, le 7 mai 1997, un article publié dans le Washington Post mentionnait le fait que l’Agence de Sécurité Nationale avait intercepté une communication entre un responsable de l’ambassade israélienne et le chef du renseignement israélien, qui laissait fermement entendre qu’il y avait une taupe (israélienne) au plus haut niveau du gouvernement US.