Parmi l’arsenal de Téhéran se trouvent des missiles balistiques ayant une portée de 2 000 kilomètres, capables d’atteindre l’entité sioniste ou les bases américaines de la région, ainsi que les navires de la Ve flotte amèricaine..
La phase finale des manœuvres militaires iraniennes baptisées « Grand Prophète 7 » s’est couronnée par le lancement d’un nouveau type de missile, nommé Khalij Fares (ndrl : le golfe persique) et qui a réussi à viser un objectif maritime déterminé.
Selon le correspondant du site d’information iranienne, Mehrnews, « cette troisième journée des manœuvres militaires des forces aérospatiales des Gardiens de la révolution s’est couronné par le lancement réussi d’un nouveau missile Khalij Fares contre un but spécifique maritime, de même différentes copies de bases navales ennemies seront la cible de drones militaires iraniens».
Il convient également de noter que « les unités et les bases de missiles qui ont participé hier à la deuxième phase de ces manœuvres ont été caractérisée par des tirs de missiles de courte de moyenne et de longue portée contres des objectifs semblables à ceux de l'ennemi ».
A noter que certains chefs de tribus ont assisté à ces manœuvres au sud-est du pays.
A souligner que parmi l'arsenal de Téhéran se trouvent des missiles balistiques ayant une portée de 2 000 kilomètres, capables d'atteindre l’entité sioniste ou les bases américaines de la région, ainsi que les navires de la Ve flotte qui croisent dans le Golfe Persique.
Cela dit, les Etats-Unis n'allaient pas laisser passer l'occasion, et ont discrètement renforcé leur présence dans la région, selon le New-York Times. En effet, des chasseurs-bombardiers F-15 ainsi que des avions furtifs auraient été déployés dans les bases du Moyen-Orient, et le nombre de dragueurs de mines auraient été portés à huit dans le Golfe Persique, pour ainsi empêcher que l'Iran ne ferme le détroit d'Ormuz, par où transite plus d'un tiers du pétrole mondial.
Le renforcement des forces américaines a été annoncée au moment les députés iraniens signaient un projet de loi visant à interdire le passage du détroit aux pétroliers se rendant vers l'Union Européenne, qui ont voté l'embargo sur les hydrocarbures iraniens à partir du 1er juillet!