Par ailleurs, le vice-ministre iranien de l’Énergie, Mohammad Behzad, a annoncé que "l’Iran a la capacité et le potentiel d’exporter 10.000 mégawatts d’électricité, par an".

 Il Sole 24 Ore, journal économique  italien, s'est  rallié aux rangs  des économistes qui ne croient pas aux impacts négatifs des sanctions occidentales sur l'économie iranienne.

En effet..

"Les pays, qui pensent que l'économie iranienne a réellement pâti des sanctions, doivent revoir leur diagnostic. La bourse iranienne, avec 339 actions côtées, d'une valeur totale de plus de 100 milliards de dollars, est l'une des plus prospère du Moyen-Orient" souligne le journal.

Le journal revient sur l'euphorie, qui a gagné, ces trois derniers mois, la bourse iranienne, et qui s'est traduit par une hausse de 30% des actions, au plus fort des sanctions.

 Et de pursuive:"La bourse iranienne n'a cessé de suivre une courbe ascendante, depuis cinq ans, et a progressé de 210%". Comparé à Wall Street (une croissance de 5%) et à la bourse de Milan (une croissance de 61%), la bourse iranienne a battu un record historique"!

 Le rapport met l'accent sur la vitalité de l'industrie nationale iranienne, qui, en dépit des sanctions, n'a rien perdu de son aplomb et continue à tourner, à plein régime, pour éviter toute défaillance liée aux sanctions.

Par ailleurs, le vice-ministre iranien de l’Énergie, Mohammad Behzad, a annoncé que "l'Iran a la capacité et le potentiel d’exporter 10.000 mégawatts d'électricité, par an".

Le responsable a déclaré que la plupart des pays voisins demandent de l'électricité de l'Iran et cette dernière peut exporter une part supplémentaire de 8.000 mégawatts d'électricité, en plus de l'existant de 2.000 mégawatts d'électricité, qui est exportée, à l'heure actuelle.

"Nous avons exporté 8,7 milliards de kilowatts/ heure d'électricité, l'an dernier, et il est prévu d’atteindre les 10 milliards de kilowatts/ heure,  pour cette année", a précisé le vice-ministre de l'Energie.

Il a noté que "l'exportation totale d'électricité de l'Iran devrait augmenter de 40 pour cent, par rapport à l'année précédente.

"Nous avons des échanges d'électricité avec le Turkménistan, l'Irak, la Turquie, l'Afghanistan et le Pakistan", a-t-il conclu.