Le film révèle le rôle du "Qatar Holding" dans la production du récent film islamophobe.
Le film «Naissance de l’Innocence des Musulmans» est le premier court métrage arabe, auquel participe un groupe de jeunes Syriens de différentes communautés, en riposte au film offensant le prophète Mohammad (P). Ce film, comme l’indique la compagnie productrice, est une tentative pour révéler les dessous de la production, du financement et de l’exécution du film américain controversé «Innocence des Musulmans».
La spécificité du film syrien réside dans le timing de sa projection, et dans la simplicité de sa mise en scène et du financement. Il sera diffusé dans le contexte de la crise syrienne, dans le but de montrer l’unité entre les communautés syriennes, face à ceux qui portent atteinte à l’Islam. Le court métrage de 17 mn est écrit par Naïm Homsi (Syrien chrétien), mis en scène par Walid Darwich (musulman chiite) et produit par une compagnie revenant à des Sunnites.
«Le film fournit des réponses claires sur l’identité du véritable producteur de l’Innocence des Musulmans et sur le rôle des «cheikhs du Golfe» prônant la discorde, dans la défense des producteurs de ce film», a indiqué le scénariste syrien au site al-Ahed.
«Le film fournit des réponses claires sur l’identité du véritable producteur de l’Innocence des Musulmans et sur le rôle des «cheikhs du Golfe» prônant la discorde, dans la défense des producteurs de ce film», a indiqué le scénariste syrien au site al-Ahed.
«Le film révèle le rôle du «Qatar Holding» dans la production du film précité et sa contribution d’une manière ou d’une autre à son financement et ce après qu’il a été convaincu de la nécessité de produire un film sur le rapprochement entre les communautés musulmanes et la louange du prophète (S), et qui serait produit par les États- Unis. Mais après avoir reçu l’approbation de l’Union des Oulémas musulmans sur le scénario du film, son producteur a demandé 25 millions de dollars supplémentaires de la compagnie. Cette somme a été utilisée dans la production du film offensant le prophète (p), et intitulé «Innocence des Musulmans», a expliqué M. Homsi.
Et de poursuivre : «Ces réalités ont été introduites dans le documentaire de 5 mn accompagnant notre film, lequel révèle les dessous de l’affaire, y compris le rôle du mouvement sioniste dans le printemps arabe. Ces informations affirment que l’objectif de ce prétendu printemps était de torpiller l’axe de la Résistance comprenant la Syrie, l’Iran et le Hezbollah. Le documentaire braque de même l’éclairage sur les sources du financement du film controversé, via les témoignages des responsables et émirs du Golfe».
M. Homsi ajoute que le film syrien constitue un message adressé par les jeunes Syriens pour affirmer qu’ils sont toujours capables de défendre les symboles religieux de toute communauté soient-ils.
Il a noté que les réalisateurs du film syrien n’ont pas les possibilités financières de louer des salles de cinéma pour projeter leur court métrage en public. «Notre film sera prochainement diffusé au centre culturel de Kfarsoussa, après avoir reçu l’approbation de Dar el-Fatwa». Il a précisé que la séance de clôture du film portera une bonne surprise pour la Syrie et son peuple. «Le film est le premier court métrage syrien et arabe en riposte au film offensant le prophète de l’Islam (P). Il sera traduit en cinq langues étrangères, à savoir l’anglais, le français, le persan, le chinois et le russe», a-t-il conclu.
Le metteur en scène du film syrien, Walid Darwich, affirme pour sa part que son spectacle adresse un message à l’étranger sur la capacité des jeunes syriens à défendre leur pays et leurs symboles religieux en dépit de leur potentiel financier modeste.
«Cependant les Syriens sont encore capables de produire des films dévoilant au large public les complots sionistes, par des techniques simples mais plus efficaces que les milliers de dollars payés en vain», a-t-il dit.
La compagnie «Rawass» et «Syrien production», producteurs du film, affirment que ce dernier confirme l’union nationale des jeunes Syriens.
«La production du court métrage encouragerait les grandes compagnies de production à passer outre la situation actuelle en Syrie», a affirmé le porte-parole des deux compagnies.
«L’art est le meilleur message culturel pour refléter l’image de la Syrie dans le monde entier», a-t-il conclu.
Source: alahednews, traduit par: moqawama.org
Et de poursuivre : «Ces réalités ont été introduites dans le documentaire de 5 mn accompagnant notre film, lequel révèle les dessous de l’affaire, y compris le rôle du mouvement sioniste dans le printemps arabe. Ces informations affirment que l’objectif de ce prétendu printemps était de torpiller l’axe de la Résistance comprenant la Syrie, l’Iran et le Hezbollah. Le documentaire braque de même l’éclairage sur les sources du financement du film controversé, via les témoignages des responsables et émirs du Golfe».
M. Homsi ajoute que le film syrien constitue un message adressé par les jeunes Syriens pour affirmer qu’ils sont toujours capables de défendre les symboles religieux de toute communauté soient-ils.
Il a noté que les réalisateurs du film syrien n’ont pas les possibilités financières de louer des salles de cinéma pour projeter leur court métrage en public. «Notre film sera prochainement diffusé au centre culturel de Kfarsoussa, après avoir reçu l’approbation de Dar el-Fatwa». Il a précisé que la séance de clôture du film portera une bonne surprise pour la Syrie et son peuple. «Le film est le premier court métrage syrien et arabe en riposte au film offensant le prophète de l’Islam (P). Il sera traduit en cinq langues étrangères, à savoir l’anglais, le français, le persan, le chinois et le russe», a-t-il conclu.
Le metteur en scène du film syrien, Walid Darwich, affirme pour sa part que son spectacle adresse un message à l’étranger sur la capacité des jeunes syriens à défendre leur pays et leurs symboles religieux en dépit de leur potentiel financier modeste.
«Cependant les Syriens sont encore capables de produire des films dévoilant au large public les complots sionistes, par des techniques simples mais plus efficaces que les milliers de dollars payés en vain», a-t-il dit.
La compagnie «Rawass» et «Syrien production», producteurs du film, affirment que ce dernier confirme l’union nationale des jeunes Syriens.
«La production du court métrage encouragerait les grandes compagnies de production à passer outre la situation actuelle en Syrie», a affirmé le porte-parole des deux compagnies.
«L’art est le meilleur message culturel pour refléter l’image de la Syrie dans le monde entier», a-t-il conclu.
Source: alahednews, traduit par: moqawama.org