Le Sommet du Conseil de coopération du Golfe a ouvert lundi ses portes à Manama, la capitale du Bahreïn, secouée par des contestations populaires.
Le dossier nucléaire iranien et la situation en Syrie sont au menu du Sommet du Conseil de coopération du Golfe (CCG) qui a ouvert lundi ses portes à Manama, la capitale du Bahreïn, secouée par des contestations populaires.
"Le sommet des pays du Golfe se tient à une période extrêmement instable. Nous devons élaborer une approche commune des principaux problèmes internationaux ainsi qu'un plan [commun] d'action", a déclaré en prévision du sommet, le secrétaire général du CCG Abdellatif Ziani.
Outre les problèmes d'actualité régionale, les dirigeants du Golfe évoqueront la coopération économique et sociale dans le cadre du CCG et examineront les perspectives de la transformation du Conseil en une Union.
Créé en 1981, le Conseil de coopération du Golfe regroupe six Etats – les Emirats arabes unis, le Bahreïn, le Qatar, le Koweït, Oman et l'Arabie saoudite.