L’ingénieur iranien Houssam Khsonavis effectuait une mission en Syrie, et notamment dans la ville d’Alep, pour discuter des projets de reconstruction de la ville.

Quelques jours après la fin de l'offensive israélienne contre le Liban en juillet 2006, la République islamique d'Iran a mobilisé son personnel diplomatique et ses dirigeants politiques pour venir proposer à l'Etat libanais leurs aides en vue de reconstruire le Liban, dont de nombreuses régions ont été sévèrement bombardées et détruites par les armes sionistes.

Alors que le gouvernement libanais dirigé à l'époque par Fouad Siniora faisait preuve de laxisme au sujet de la reconstruction du pays et de paiement d'indemnisations aux familles sinistrées, l'Iran a mis en place "la commission pour la reconstruction du Liban" qui, en quelques courtes années, a réalisé d'importants projets vitaux et éliminé les traces de la guerre sioniste.

L'ingénieur iranien Houssam Khosnavis, connu de la population libanaise, fut le président de cette commission.

Une fois sa mission au Liban presque terminée, Khoshnavis a été dépêché en Syrie, également dans les régions détruites par la guerre en cours, pour aider à entamer la reconstruction des villes et villages sécurisés.

Mais de retour à Beyrouth, il a été assassiné jeudi.

Certes, les destructeurs de la Syrie n'acquiescent point que quelqu'un vienne reconstruire ce qu'ils ont ruiné!

Dans la vidéo suivante, un documentaire sur les exploits réalisées par la commission iranienne pour la reconstruction du Liban, dirigée par le martyr Houssam Khoshnavis lui-même.